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Journaliste culturel, ce n’est pas un métier facile, comme certains semblent le croire. C’est un métier exigeant qui demande passion, patience, énergie et rigueur.
On ne naît pas journaliste culturel, on le devient avec le travail et un apprentissage minutieux. Un bon journaliste culturel ne se contente pas de relayer l’information, il doit s’initier aux arts, aux cultures locales et essayer d’appréhender les œuvres des artistes, afin de traduire la vision ou la sensibilité globale au lectorat. Un bon journaliste culturel est celui qui fait le choix de se spécialiser dans un ou deux domaines pour produire de bonnes critiques et de continuer de s’adapter à l’actualité en mouvement. Cette rigueur présente chez celles et ceux qui veulent proposer un journalisme de qualité se retrouve souvent effritée quand elle est confrontée à une mauvaise organisation et ou autres marques d’irrespect et de manque de considération envers les journalistes. Un phénomène malheureusement de plus en plus observé chez nous à l’aune de la crise que traverse le secteur culturel causée, entre autres, par un budget étatique insignifiant et face à la prolifération des médias, des problèmes struc- turels du métier et le non-respect de la spécialisation.
Lire l’intégralité de l’article dans notre version papier du 12-02-2025